Chant
Socrate, c’est bien connu était imbiturable,
Il a bien fallu pour rouler sous la table,
Qu’il avale un tout grand verre de cigüe,
Et qu’il le termine comme un tout grand cru !
Aux disciples effrayés, par ce corps déjà froid, d’une forte voix il s’écria :
Toute ma vie j’ai cherché dans ce monde de déboires
(à boire !)
La sagesse, l’eros et le savoir,
Il n’y a rien de plus doux que d’affoner un petit coup (hu-hu)
De bière et de vin et de discours de fou.
Selon l’ordre avisé, il y a plein de chercheurs,
Qui sont illuminés et tout plein d’ardeur,
Pour Saint Thomas, Hegel et puis Heidegger,
Qui donnent à certains une dose de bonheur !
Ces chercheurs d’vérité, qui n’l'ont jamais trouvé, d’un même élan ont déclaré :
Toute ma vie j’ai cherché dans ce monde de déboires
(à boire !)
L’absolu, la vérité et le savoir,
Il n’y a rien de plus doux que d’affoner un petit coup (hu-hu)
De bière te de vin et de discours de fous.
La Chouette, compte sur nous pour reprendre le flambeau,
Notre cercle est fou et chantons le bien haut,
Quand on boit ensemble, tout l’UCL en tremble,
Et si vit l’amitié, alors qu’elle soit grande !
Y’a pas qu’au CEP, qu’on trouve des pédés qui n’arrêtent pas d’s'égosiller :
Toute ma vie j’ai cherché dans ce monde de déboires
(à boire !)
L’amitié, la vie et encore le savoir,
Il n’y a rien de plus doux que d’affoner un petit coup (hu-hu)
De bière et de vin et de discours de fou.
Cri
Président :
Primum philosophare, deinde bibere !
Tous :
Sed nostra philosophia bibendum est !
Président :
Ergo bibere, deinde bibere !
( A-fond, pour ceux qui ont. )